La norme WLTP est appliquée sur le calcul du malus automobile, c’est-à-dire à partir de son émission de gaz à effet de serre. Rattachée au programme du ministère de la transition écologique, elle va entrer en vigueur à partir du 1er janvier 2020.
WLTP : Worldwide Harmonized Light Vehicles Test Procedure. Il s’agit d’un standard rattaché à des tests en laboratoire ayant pour but la normalisation des mesures d’émission en CO2 pour tous les constructeurs automobiles internationaux.
Cette homologation WLTP s’appliquait alors uniquement sur les voitures neuves depuis septembre 2018. Les valeurs prises en compte sont la vitesse moyenne, les cycles de roulage par rapport à la distance parcourue afin d’obtenir le volume d’émission de CO2.
Les constructeurs doivent se conformer à cette nouvelle normalisation dans la production de leur véhicule propre. La plupart d’entre eux se focalisent sur les nouvelles technologies et les recherches innovantes dans le but de détecter efficacement cette émission de gaz à effet de serre. Par exemple dans le système d’échappement via l’utilisation de capteurs et la destruction du gaz carbonique à l’intérieur du pot catalytique.
Rappelons que les principaux gaz à effet de serre sont les monoxydes de carbone, les hydrocarbures, les oxydes d’azote et le dioxyde de carbone. Les normes antipollution sont résumées dans un tableau qui classifie l’impact de ces gaz sur la santé de l’homme et sur l’environnement.
Toujours est-il que de nombreux modèles de véhicules propres sont déjà en vente et en circulation sur le territoire européen. En France, l’État continue d’encourager la transition écologique en matière d’utilisation de voitures propres, avec l’octroi des primes et des bonus. Il s’agit du système du dépollueur-payé, à l’inverse du malus pollueur-payeur.
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